Pris au piège

Une photo pour montrer que les êtres humains prennent de plus en plus de place. Cependant, ces caribous de la Gaspésie étaient certes gêné par la présence humaine, peu discrète comme à son habitude, mais pas au point de partir à la course.

Le passage du brise-glace

Arrivée du brise-glace Des Groseilliers de la garde côtière canadienne au port de Matane, faisant décoller quelques eiders à duvet.

Dernier vol

Ce faucon émerillon a frappé le mât d'une éolienne, a t-il était distrait alors qu'il était en chasse ?

Un matin d'hiver au Québec

Tôt le matin, un harfang des neiges surveille son territoire d'hivernage du haut d'un poteau électrique.

Le pêcheur solitaire

Terrain de jeu

Un terrain de jeu dont les mailles du filet qui retiennent les ballons égaré a déjà tué plus d'un oiseau. Ce jeune faucon émerillon s'en est sorti tout seul. Les espaces qu'on partage avec les animaux sauvages sont multiples, et si on n'a jamais pris le temps d'y réfléchir et d'observer, on ne soupçonnerait jamais certaines situations qui peuvent se présenter à nous !

Le vol des quiscales !

Ces quiscales forment de gros groupes une fois la saison de nidification terminée. De cette façon, il peuvent faire face plus facilement aux attaques des prédateurs. Mais ces oiseaux particulièrement intelligents profitent des champs de maïs des humains dont les épis sont mûrs à cette période de l'année. Dans la nature, une nouvelle source de nourriture fini toujours par être exploitée, et l'être humain n'a pas inventé la loi du moindre effort, c'est-à-dire que si de la nourriture se trouve proche et facilement accessible, il n'y a aucune raison d'aller la chercher plus loin !

Départ en chasse

On voit souvent les harfangs des neiges partir en chasse à la brunante dans les zones portuaires et industrielles proches du fleuve Saint-Laurent à la fin de l'automne et l'hiver. La présence de rongeurs et autres canards, goélands et autres pigeons sont tous des proies potentielles de cet oiseau de proie originant de l'arctique.

Développement humain

Ce pygargue à tête blanche

Séance de séchage sur l'embarcation

Ces cormorans à aigrette se servent de cette embarcation comme perchoir pour se sécher les ailes après une séance de pêche.

Ravage forestier

Du haut de sa montagne, ce caribou gaspésien semble regarder la forêt en triste état après le passage des humains. Les caribous montagnards de cette région se nourrissent principalement de lichen arboricole pendant la saison hivernale. Ce lichen est très long à pousser et pour en avoir assez pour soutenir une population de caribous, ça prend des forêts qui ont environ un siècle d'âge, mais on coupe les forêt bien avant cette échéance, n'autorisant pas le lichen à se régénérer dans les arbres. Aussi, tous les chemins ouvert pour aller chercher ce bois en forêt favorise les déplacements rapides de certains prédateurs d'un territoire à l'autre, rendant les caribous plus vulnérable à la prédation. Et les caribous n'ont pas évolués dans cet environnement artificialisé par l'être humains en quelques décennies seulement !

La mort du petit rorqual

Étant bénévole pour Urgence Mammifère Marin, je me rend souvent sur les lieux d'un échouage pour identifier, mesurer et essayer de comprendre les causes du décès. Ces dernières sont rarement identifiées, mais on trouve très régulièrement des traces de cordages ou d'empêtrement dans des engins de pêche. Peut-être devrions-nous nous questionner sur nos pratiques en la matière ?

Accident de la route

Cette crécerelle d'Amérique mâle chassait sur le bord de la route et a été victime d'une collision automobile. Parfois, c'est la vitesse de leur attaques et leur concentration sur leur proie qui les fait oublier le décors routier malgré leur excellente vue et leur réflexes habituellement très rapide.

Harfang au repos

Ce beau harfang des neiges mâle est au repos non lin du fleuve Saint-Laurent dans la région du Bas-Saint-Laurent au Québec.

À table !

Ces vautours urubus, aussi appelés urubus à tête rouge, finissent une vache morte. La présence de charognards permet à la nature de faire disparaître les animaux morts et d'éviter ainsi la propagation des maladies et autres parasites.

Ne bougeons pas !

Rapatriement difficile

Un béluga retrouvé mort sur une plage du fleuve Saint-Laurent est chargé sur un camion afin d'être acheminé pour autopsie à l’hôpital vétérinaire de Sainte-Hyacinthe au Québec. Ces autopsies servent principalement à étudier la cause de mortalité, mais aussi de mesurer les types et les quantités de polluants qu'on peut retrouver dans leurs tissus.

Traversée de tétras

Observation à partir des sentiers dans un parc national.

Repos dans les ordures

Les pygargues à têtes blanches fréquentent régulièrement les décharges à ciel ouvert.

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Le règne Humain

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